Publié le : 26/04/2024 – 15:49

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Ces cas, les premiers à découler d’une contamination interne dans ce département français de l’océan Indien, ont été « identifiés dans la commune de Koungou », au nord de Mamoudzou, a précisé Olivier Brahic, directeur général de l’ARS, lors d’une conférence de presse. « Le plus probable » est que ces patients recevant ont été contaminés par « une personne malade (ici) ne s’est pas présenté au Samu », a-t-il poursuivi.

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Les trois personnes concernées sont une femme, un homme et un nourrisson, sans lien biologique, qui ont été hospitalisés et « ça va bien ». « Il n’y a pas de caractère épidémique à l’heure actuelle. Mais une situation particulière qui exige une surveillance renforcée », a encore assuré Olivier Brahic. Il a indiqué que les autorités mettaient en place « des mesures d’identification des contacts, de mise sous antibiotiques » et organisaient « la vaccination des habitants de cette zone ».

Un protocole élaboré en février pour éviter la propagation de la maladie prévoit la détection du foyer du malade, l’identification et le traitement des cas contacts et une vaccination « en anneaux », en élargissant progressivement la zone concernée autour de l’habitation du patient atteint de choléra. En parallèle, un centre de dépistage va être ouvert sur place et 20 médecins et infirmiers arriveront en renfort samedi à Mayotte.

Plusieurs cas en provenance des Comores déjà confirmés à Mayotte

Le choléra est une forme aiguë de diarrhée qui peut tuer en quelques heures et se contracte par une bactérie généralement transmise par l’eau ou la nourriture contaminée. Avant ces trois cas, dix avaient été confirmés à Mayotte, le premier le 18 mars. Il s’agissait d’une femme en provenance des Comores. Le 10 avril, l’ARS confirmait quatre nouveaux cas, des migrants irréguliers interpellés en mer. Selon la police, ces personnes sont originaires de la République démocratique du Congo (RDC) et « probablement passé par les Comores ».

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Sur cet archipel distant de 70 kilomètres, l’épidémie flambe. Selon le ministère de la Santé de l’Union des Comores, 68 nouveaux cas et trois nouveaux décès ont été enregistrés pour la seule journée du 24 avril. Au total, « 2 584 cas » et « 61 décès » y ont été recensés à cette date depuis le déclenchement de l’épidémie, au début de l’année, selon le ministère.

L’épidémie touche par ailleurs plusieurs pays d’Afrique. Selon l’Organisation mondiale de la Santé, 26 000 cas de choléra et 7 000 décès ont été signalés dans 10 pays du continent. La Tanzanie et la RDC, d’où provient la majorité des demandeurs d’asile arrivant à Mayotte, en font partie.

Publié le : 24/04/2024 – 14:02Modifié le : 24/04/2024 – 14h00

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Cette suspension intervient alors que l’athlète, détenteur du record de France du 800 m, âgé de 31 ans, avait annoncé en décembre 2023 prendre sa retraite à quelques mois des JO de Paris.

conserver il ya un plus d’un an d’un tendon de la cuisse droite, il avait connu une récidive et avait dû de nouveau s’arrêter en avril 2023, une « récidive qui avait cassé la dynamique », avait-il à expliqué l’Equipe au moment de l’annonce de sa retraite.

Il s’est vu notifier par l’AFLD à trois reprises des manquements à ses obligations de localisation entre septembre 2022 et juin 2023. A partir de trois manquements, les sportifs sont sanctionnés.

En 2019, Pierre-Ambroise Bosse avait été condamné à une amende de 1000 euros pour une violente rixe arrosée, une nuit d’août 2017 en Gironde, au cours de laquelle il avait été gravement blessé au visage, ce qui avait engendré une fin de saison prématurée.

Après son sacre mondial, Bosse n’avait jamais retrouvé l’état de grâce d’août 2017 à Londres.

De blessures en changements d’entraîneurs ajoutés à la bagarre en Gironde, son image avait été sérieusement ternie et son moral grandement affecté. Fin 2020, il avait même perdu son équipementier (Puma).

Avant son titre mondial, le natif de Nantes (1,85 m, 68 kg) avait terminé au pied du podium (4e) aux JO de Rio en 2016 mais avait été éliminé avant la finale de lors de ceux de Tokyo en juillet 2021.

Publié le : 06/04/2024 – 11:53

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Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi

Une augmentation des cas de choléra a été enregistrée dans les structures de prise en charge. Fr RDCles conflits armés, ces derniers mois, ont exacerbé la situation, forçant des milliers de personnes à chercher refuge dans des conditions, loin d’être idéales, augmentant ainsi le risque de propagation de cette maladie mortelle autour de Goma.

Pas assez de latrines

La réponse humanitaire actuelle ne répond pas aux besoins croissants en eau potable, hygiène et assainissement. Dans certains camps, il n’y a pas assez de latrines ou bien elles sont complètement saturées et l’accès aux douches ainsi qu’à l’eau potable reste très réduit. Face à cette crise, MSF a mis en œuvre une série de mesures urgentes.

Des unités de traitement spécialisées ont été établies, comme dans les Aires de santé de Buhimba et de Kanyaruchinia, où plus de 525 patients ont été traités, ces cinq dernières semaines.

« L’approvisionnement en eau potable est une priorité »

Joint par RFI, Jimmy Matumona, chef de mission adjoint de MSF précise que ce n’est pas suffisant : « MSF appelle à une grande mobilisation des acteurs humanitaires et des autorités, face à l’ampleur des besoins. La construction des douches, des latrines ainsi que l’approvisionnement en eau potable est une priorité. »

L’ONG insiste aussi sur un déploiement efficace dans la zone : « Nous appelons aussi les différents acteurs à ne pas seulement se focaliser sur un seul axe. Nous notons un désengagement d’acteurs humanitaires à Kanyaruchinia, dans la partie Nord de Goma. »

En 2023, plus de 52 400 cas de choléra et 462 décès ont été enregistrés en RDC, déclarant cette épidémie parmi les plus importantes au monde.

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Publié le : 03/04/2024 – 12:57

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De notre correspondant à Buenos Aires,

Avec cette vague de licenciements massifs, le président ultralibéral approfondit son plan « tronçonneuse ». Javier Milei est obsédé par l’idée de remettre les comptes publics à l’équilibre, et ce, à n’importe quel prix, et il est persuadé que l’État est à la cause de tous les problèmes de son pays.

Le président argentin répète à l’envi qu’il a déjà licencié 50 000 fonctionnaires, même si les chiffres officiels disponibles indiquent que le nombre de licenciements était plus proche de 10 000 jusqu’à il ya peu. Ce qui est en revanche certaine, c’est que depuis la semaine dernière, des milliers de fonctionnaires ont appris leur licenciement. Selon le porte-parole de la présidence, on parle de 15 000 personnes licenciées, tandis que 55 000 contrats sont actuellement en révision.

Selon le relevé effectué par le syndicat ATE, ces licenciements ne semblent pas découler d’une méthodologie liée à l’ancienneté. En témoigne le licenciement de Lucas Berengua, technicien du service météorologique national remercié la semaine dernière après vingt-et-un ans de bons et loyaux services.

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Des dizaines de bureaux de l’agence de nationale de la sécurité sociale fermées

Un cas parmi tant d’autres qui, mis bout à bout, provoquent le démantèlement de l’État argentin. C’est ce que dénonce le secrétaire général d’ATE, Rodolfo Aguiar : « Derrière chaque licenciement, il y a une tragédie pour le travailleur ou la travailleuse et sa famille qui se retrouve démunis. Mais face à cette vague de licenciements massifs, ces tragédies individuelles se convertissent en tragédie sociale, car derrière chaque poste de fonctionnaire qui disparaît, il y a une politique publique qui est démantelée. Les services publics vont être sévèrement affectés et, au final, c’est la population qui va perdre des droits. »

Et la meilleure illustration de ce dont parle Rodolfo Aguiar, c’est sûrement l’Anses, l’agence nationale de la sécurité sociale. Des dizaines de bureaux de proximité de l’organisme ont été fermés, y compris dans des zones reculées, et 1 300 de ses employés ont été licenciés depuis l’arrivée au pouvoir de Javier Milei. En réaction à cette vague de licenciements, le syndicat ATE appelle donc à une journée de mobilisation ce mercredi. Le syndicat appelle tous les employés licenciés, mais aussi ceux toujours en poste à entrer de manière massive et coordonnée sur leur lieu de travail ce mercredi, pour occuper éventuellement pacifiquement les bâtiments publics si le gouvernement ne répond pas à leurs demandes.

Un mode de mobilisation déjà utilisé sous la présidence de Mauricio Macri, il y a quelques années, dans un contexte tendu, rappelle Rodolfo Aguiar : « La police fédérale avait été déployée pour bloquer l’entrée des ministères, avec pour consigne de ne laisser passer que ceux qui n’avaient pas été licenciés. Nous n’écartons pas la possibilité que ce scénario se répète ce mercredi, et nous tiendrons le président Milei responsable des violences ou de la répression qu’il pourrait ordonner et qui serait à déplorer. »

Vers une nouvelle grève générale ?

Cette mobilisation sectorielle pourrait déboucher sur un mouvement de contestation plus large. En tout cas, c’est ce que souhaite Rodolfo Aguiar et le syndicat ATE : que les centrales syndicales appellent à une nouvelle grève générale, comme le 24 janvier dernier. « Il faut rééditer un nouveau 24 janvier en Argentine, parce que les fonctionnaires ne sont pas les seuls à souffrir. Le gouvernement a annoncé qu’il allait payer en plusieurs versements les misérables retraites qui touchent les retraités. La consommation s’effondre et les commerces mettent la clé sous la porte. Les commerçants et les PME, eux aussi, souffrent de la politique économique du gouvernement. Il faut une nouvelle mobilisation qui unifie toutes ces revendications. »

Mais malgré cette volonté de faire converger les mécontentements, le mouvement syndical reste encore divisé sur la question. Alors que la CTA, la deuxième centrale du pays à laquelle est affiliée l’ATE, pousse à une nouvelle grève générale, certains secteurs de la CGT, la première centrale syndicale, pense qu’à l’heure actuelle, une telle mesure serait précipitée. et contre-productif.

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Lorsque vous photographiez ce que vous connaissez et savez ce que vous photographiez, vous établissez des liens avec vos clients, gagnez leur respect et produisez de meilleures images.

J’apprécie vraiment le chocolat. Ma grand-mère prépare chaque année des chocolats comme cadeaux de Noël. En tant qu’étudiant au lycée, je travaillais dans une chocolaterie tous les jours après les cours. Ainsi, lorsqu’un prospect m’a appelé pour savoir comment réaliser des photos pour son entreprise de confiserie, j’étais bien préparé à discuter des détails du processus. Pendant que nous prenions les photos, elle n’arrêtait pas de dire à quel point c’était agréable de travailler avec quelqu’un qui connaît le métier.

J’ai un autre client qui fabrique des camions spécialisés utilisés dans l’industrie pétrolière, et j’ai utilisé ce type de camion dans une carrière précédente. Il dit également qu’il préfère travailler avec moi parce que je comprends les fonctionnalités et que je peux montrer les choses importantes sans qu’on me le dise.

Savoir ce que vous photographiez

J’aimerais suggérer que connaître ce que vous photographiez améliorera votre prise de vue. Quelqu’un m’a partagé un article mentionnant les notes de Léonard de Vinci sur la Joconde, y compris des aperçus de son personnage. Da Vinci a passé du temps à apprendre à connaître son sujet. Lorsque vous photographiez des sujets que vous connaissez ou qui vous passionnent, cette perspicacité apparaîtra dans les images que vous réalisez.

Qu’est-ce que tu dis ? Vous n’avez jamais travaillé dans le domaine pétrolier ? C’est là que quelques minutes sur Wikipedia.org vous aideront à tirer le meilleur parti des expériences des autres. Que vous photographiiez des paysages, des chocolats, des camions ou des personnes, le temps passé à étudier votre sujet sera décuplé en qualité de vos images et en qualité de l’expérience que vous vivrez en les créant.

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6. Fujifilm X100V. Bien que cet appareil photo ne soit peut-être pas en tête de liste, il a fonctionné de manière phénoménale en sautant vers le haut. 22 places Année après année. MPB attribue sa popularité croissante aux médias sociaux et aux créateurs de contenu. Vendez-le à MPB et gagnez 930 $.
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• Fujifilm X-T5. Cette sensation de capteur de récolte de 40,2 MP remporte la première place dans le classement MPB des appareils photo les plus dynamiques aux États-Unis. Cette année marque le 10e anniversaire du X-TI, et ce dernier modèle de Fujifilm combine ces magnifiques couleurs que tout le monde aime avec une grande résolution. Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour 1 075 $.
• Sony Alpha A7R V. Cette beauté plein format de 61 MP est connue pour son système de mise au point automatique sublime et sa qualité d’image exceptionnelle, ce qui en fait une mise à niveau attrayante pour tous ceux qui cherchent à améliorer leur jeu. Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour 2 400 $.
• Canon EOS R6 Mark II. Commercialisé auprès des passionnés et des professionnels, cet appareil photo polyvalent offre une vitesse allant jusqu’à 40 ips, de belles performances en basse lumière et plus de mégapixels par rapport au R6 d’origine. Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour 1 500 $.
• Canon EOS R5. MPB prédit de fortes ventes pour cet appareil photo, qui figure également dans notre tour d’horizon de recommandations pour 2024. et notre liste d’appareils photo que vous pouvez vendre pour une petite fortune. Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour 1 975 $.
• ??Panasonic Lumix S5II. Cet appareil photo séduit à la fois les photographes et les cinéastes, et les professionnels apprécient ses performances de mise au point automatique améliorées et son prix relativement abordable (plus pour votre argent). Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour $.
• Nikon Z8. Cet appareil photo très prisé, considéré par beaucoup comme la réponse sans miroir au bien-aimé D850, a reçu des critiques élogieuses dès son arrivée sur le marché. Si vous aimez la « sensation » d’un reflex numérique mais avez envie de vitesse et de portabilité, sans parler d’un fonctionnement silencieux, cet appareil photo est fait pour vous. Vous en avez déjà un ? MPB l’achètera pour 2 525 $.

Le ménage de printemps va bien au-delà du simple désencombrement. Pour les professionnels de la photographie, cette période de l’année offre l’occasion de s’organiser et de réévaluer : que pourriez-vous faire pour devenir plus productif, plus durable et plus rentable ? Ce sont des questions à long terme, mais acheter et vendre avec MPB est une première étape simple et qui vous permet de faire plus avec ce que vous possédez déjà. Débarrassez-vous de ce dont vous n’avez pas besoin, puis faites preuve de créativité avec du matériel usagé (mais nouveau pour vous !).

Cet article a été sponsorisé par nos amis de MPB.

Découvrir plus

La côte Pacifique de Californie regorge d’opportunités photographiques allant des falaises spectaculaires aux piles de mer, en passant par les rochers escarpés, les jetées et les tafoni. Les formations tafoni ressemblent à un nid d’abeilles et sont formées par les forces d’érosion sur les surfaces rocheuses. En réalisant cette collection de photographies, j’ai voulu accentuer les textures et les motifs du tafoni. Une lumière douce et directionnelle a fourni les conditions parfaites pour traduire ma vision en réalité.

Toutes les photographies de cette collection ont été réalisées à Bean Hollow State Beach, située à environ 50 miles au sud de San Francisco.